Evento

Quatrième édition de la « Nuit Blanche » à Rome : les Musei Capitolini seront ouverts pendant toute la nuit, de 20h à 6 h, avec entrée gratuite.

Des peintures de l’école émilienne – romagnole du XVe au XVIIIe siècle de la Collection de la Banca Popolare dell’Emilia Romagna (Banque Populaire d’Emilie - Romagne).

Provenants des majeures musées de Moscou – du Musée du Kremlin, du Musée Rublev, du Musée Historique, de la Galerie Tretiakov et de l’Institut Grabar- les objets artistiques en bois entaillé de la Russie de l’antiquité au XIXe siècle sont exposés pour la première fois en Italie.

Ancien et goût de l’ancien dans les splendides bijoux grecs, étrusques, romains et byzantins de la collection, crée à Rome vers la première moitié du XIXe siècle par le marquis Giovanni Pietro Campana et aujourd’hui pour la plus part conservée au Musée du Louvre.

La nouvelle production dédiée à la ville de Rome, commandée chaque année par le Festival à un photographe de réputation internationale, engage cette année Martin Parr avec un travail sur le tourisme à Rome.
Un profil d’histoire privée dans le regard des grands photographes du XXe siècle qui ont cueilli la poésie des moments d’évasion, le chaos des plages bondées, mais aussi la recherche de liberté à partir de la réalité de la vie quotidienne.
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Quatrième édition de l’exposition, organisée par la Mairie de Rome, dédiée à l’Orient.

Des nombreuses gravures qui représentent le paysage italien, exécuté par l’artiste au cours de ses fréquents voyages en Italie et, pour la première fois, une série d’œuvres graphiques dédiées à Rome, où l’artiste a vécu pendant des longues années.

Le “Souper à Emmaüs » par Caravage de la Pinacothèque de Brera exposé pour la première fois au Capitole.

Images du grand photographe allemand, parmi les pionniers de la photographie sociale en Europe, de l’archive Sander de Monaco.

Des précieuses et souvent méconnues reliques de la peinture romaine sur table entre la deuxième moitié du XIIIe siècle et les premières décennies du XVIe siècle, dans le passage qui a fait époque du langage byzantin à celui naturaliste.